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Un avenir éthique, tapis après tapis.

Les tapis tissés à la main sont magnifiques, mais leur fabrication se fait souvent dans de mauvaises conditions de travail, quand il ne s’agit pas d’exploitation pure et simple des populations. Avec les producteurs, nous cherchions à maintenir la qualité et la douceur propres aux tapis faits main tout en améliorant radicalement les conditions de travail. Et nous l’avons fait.

Mains tissant la frange d’un tapis dans des tons de blanc, bleu, gris et moutarde.

Tapis IKEA faits main en Inde

Découvre comment nous améliorons avec nos fournisseurs les conditions de production de nos excellents tapis tissés main, en Inde et au Bangladesh, en veillant à un plus grand respect pour l’environnement et à de bonnes conditions de travail.

    Meilleures conditions de travail, meilleurs produits

    Produire des tapis faits main dans de bonnes conditions de travail et pour un salaire équitable est bon pour tout le monde. Pour les tisserands, cela représente des commandes, et donc des revenus stables et prévisibles. Nous avons supprimé les intermédiaires et les avons remplacés par des centres de tissage officiels, conformes au code de conduite et aux normes de sécurité de IKEA.

    Trois tisserandes indiennes en tenue traditionnelle discutent de la conception d’un tapis.

    Un passé difficile

    Par le passé, en Inde et au Bangladesh, le tissage des tapis ne visait qu’à apporter un revenu d’appoint. Travaillant à domicile ou dans des usines sauvages, les tisserands devaient s’adapter à des flux de commandes irréguliers et imprévisibles. Par ailleurs, des agents verrouillaient le secteur et accaparaient la majorité des revenus.

    Fil blanc sur les lattes de bois d’un métier à tisser.

    La parité entre les sexes d’ici 2025

    Le tissage à la main est une activité traditionnellement dominée par les hommes. L’éducation et l’autonomisation des femmes étant essentielles au développement de la société indienne, nos fournisseurs s’efforcent de créer et de maintenir un environnement de travail sûr pour les femmes. Globalement, les femmes représentent à l’heure actuelle 45% de la main-d’œuvre de nos fournisseurs.

    Quatre tisserandes indiennes en robes traditionnelles de couleurs vives profitent d’un moment de gaieté à l’extérieur.
    Des Indiennes portant des vêtements de couleurs vives sont assises dehors sur un tapis. En arrière-plan, on aperçoit quelques huttes et une vache.

    Amélioration des salaires et des avantages

    Nous avons tout d’abord procuré aux tisserands un emploi régulier dans un environnement sûr, contre un salaire légal et réglementé, assorti d’avantages sociaux tels que congés et transport. Nous avons par ailleurs créé deux écoles dont les élèves sont payés pour apprendre.

    Créer des emplois de proximité

    Notre objectif est de localiser les centres de tissage près des lieux de vie des tisserands et autres travailleurs, pour leur éviter d’avoir à quitter famille et foyer.

    Un processus adapté aux femmes

    Nous avons par ailleurs apporté des modifications au procédé de tissage et développé un nouveau métier qui demande moins d’efforts physiques. Le tissage est désormais une profession que les femmes peuvent exercer sans problème, assurant une bonne stabilité économique. Nous avons également décidé de ne pas breveter le nouveau métier à tisser afin qu’il soit accessible à tous.

    Mains d’une tisserande réalisant un tapis blanc. Elle porte un haut à motifs traditionnels.

    Collaborer pour maintenir l’artisanat en vie

    En améliorant les conditions de vie des tisserands, IKEA espère rendre accessibles à tous ces inestimables tapis faits main. Nous travaillons avec les tisserands dans leurs ateliers pour promouvoir leurs créations, fruit du patrimoine haut en couleurs de la région comme de leur savoir-faire.

    Voir tous nos tapis faits main
    Fauteuil en osier sur un tapis TANNISBY en gris, noir et blanc.
      Deux tapis HALVED sur un sol en béton brut.
        Voir tous nos tapis faits main
        Mains d’une tisserande indienne en plein travail. Elle porte plusieurs bracelets en cuivre.
        J’étais enseignante, mais j’ai voulu devenir tisserande. Maintenant que j’apprends ce nouveau métier, je gagne beaucoup mieux ma vie et je peux passer plus de temps avec mes enfants.

        Shashi DeviTisserande


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